Si pour tout n ∈ N à partir d’un certain rang on a un ≤ vn et si limn→+∞ un = +∞ alors limn→+∞ vn = +∞.
Si pour tout n ∈ N à partir d’un certain rang on a un ≤ vn et si limn→+∞ vn = −∞ alors limn→+∞ un = −∞.
Si pour tout n ∈ N à partir d’un certain rang on a un ≤ vn ≤ wn et si u et w convergent avec la même limite alors la suite v converge aussi avec la même limite.
S’il existe une fonction f continue sur un intervalle I stable par f telle que pour tout n ∈ N à partir d’une certain rang on a un+1 = f(un) avec up ∈ I et si la suite u converge alors sa limite est un point fixe de f ou une extrémité ouverte de I.
On a l’équivalence un = on→+∞ (1) ⟺ limn→+∞ un = 0.
Une limite peut donc éventuellement se calculer à partir d’un développement limité, notamment pour une somme algébrique.
Si un ∼n→+∞ vn alors limn→+∞ un = limn→+∞ vn si ces limites existent.
Une limite peut donc se calculer à partir d’un équivalent, notamment pour un produit ou un quotient.
S’il existe une fonction f définie et continue sur [0 ; 1] telle que pour tout n ∈ N∗ on ait un = 1n ∑k=0n−1 f(kn) ou un = 1n ∑k=1n f(kn) alors limn→+∞ un = ∫01 f(t) dt.