Problèmes
On fixe un entier naturel
n ≥ 1 et une fonction polynomiale
A de degré au plus
n.
Pour tout
P ∈ Rn[x]
on définit
ΦP(x)
= A(x) ∫01 P(t) dt
− P(x) ∫01 A(t) dt.
On note
α = ∫01 A(t) dt.
- Vérifier que l’application Φ :
P ↦ ΦP
définit bien un endomorphisme de Rn[x].
- Soit λ une valeur propre de Φ. Montrer que
λ ∈ {0, −α}.
- Montrer que Im(Φ + αId) ⊂ Ker(Φ).
- En déduire que pour α ≠ 0,
on a Ker((Φ + αId)) ⊕ Ker(Φ) = Rn[x].
- À quelle condition l’endomorphisme Φ est-il diagonalisable ?
Pour tout ensemble
ℰ = {x1, … , xn} de
n vecteurs distincts dans
Rd, on définit l’inertie de
ℰ
comme la moyenne des distances au carrés des vecteurs de
ℰ
à leur barycentre :
ℐ(ℰ
= 1/n ∑i=1n ∥xi − ‾x(ℰ)∥2,
où
‾x
= 1/n ∑i=1n xi.
Dans la suite de l’exercice, on fixe un ensemble
ℰ de
n vecteurs vérifiant
1/n ∑i=1n xi = 0.
Soit
u un vecteur de
Rd
tel que
∥u∥ – 1.
On note
pu : Rd → Rd
la projection orthogonale sur la droite vectorielle engendrée par
u.
- Montrer que pu(x)
= 〈x, u〉u.
- Calculer l’inertie de l’ensemble ℱu = {pu(x1), … ,
pu(xn)}
obtenu par projection de l’ensemble ℰ
sur Vect(u).
Montrer qu’il existe un endomorphisme f de Rd que l’on précisera tel que
ℐ(ℱu)
= 〈u, f(u)〉 quel que soit le choix de u.
- On admet que f admet une base orthonormée de vecteurs propres.
Montrer que maxu∈Rd, ∥u∥=1
ℐ(ℱu) = λmax
où λmax est la plus grande des valeurs propres de f. Pour quel vecteur u ce maximum est-il atteint ?
(1)Montrer quepu(x) =〈x,u〉u.(2)Calculer l’inertie de l’ensembleFu={pu(x1),...,pu(xn)}obtenu par projection des vecteurs de l’en-semble
ℰ sur Vect(u). Montrer qu’il existe un endomorphismefdeRdque l’on précisera tel queI(Fu) =〈u,f(u)〉.(3)On admet que l’endomorphismefadmet une base orthonormée de vecteurs propres. Montrer quemaxu∈Rd,‖u‖=1I(Fu) =λmaxoùλmaxest la plus grande valeur propre def. Pour quel vecteuruce maximum est-il atteint ?
On pose M =
[
[
1 ;
−1 ;
5]
[
2 ;
−1 ;
−4]
[
3 ;
1 ;
1]
]
et on note u, v, w
ses trois vecteurs colonnes dans R3.
- La famille (u, v, w) est-elle libre ? génératrice de R3 ? Est-ce une base ?
- Déterminer une décomposition du vecteur x =
[
[
1]
[
1]
[
1]
]
sur cette famille.
- Calculer D = MT × M,
où MT est la transposée de M.
- Les matrices M et MT commutent-elles ?
- Déterminer une matrice D′ =
[
[
a ;
0 ;
0]
[
0 ;
b ;
0]
[
0 ;
0 ;
c]
]
telle que D × D′ soit la matrice indentité I3.
- Les matrices D et D′ commutent-elles ?
ENS 2019 problème B troisième partie
Soit A ∈ ℳn(R) une matrice antisymétrique, c’est-à-dire telle que AT = −A. On note u l’endomorphisme de Rn représenté par A dans la base canonique.
- Montrer que pour tout x ∈ Rn on a 〈x|u(x)〉 = 0
- En déduire que u ne peut admettre de valeur propre réelle non nulle.
- Montrer que pour tout x ∈ Rn on a 〈x|u(x)〉
= − ∥u2(x)∥2.
- Montrer que Rn = Ker(u) ⊕ Im(u).
- Soit λ une valeur propre de v = u2. Montrer que λ ≤ 0.
- On suppose maintenant que λ ≠ 0,
on introduit x0 un vecteur propre associé,
et on note F = Vect(x0, u(x0)).
- Montrer que F est un sous-espace vectoriel de dimension 2 dans Im(u).
- Montrer que pour tout x ∈ F
on a u(x) ∈ F.
- Montrer que l’application w : F → F ;
x ↦ u(x)
n’admet pas de valeur propre réelle.
- Donner la matrice représentative de w dans la base
(x0,
1/√−λu(x0))
- Déterminer une matrice P inversible telle que
A = P
[
[
0 ;
−√3 ;
0]
[
√3 ;
0 ;
0]
[
0 ;
0 ;
0]
]
P−1.
Matrice de Vandermonde
- La matrice (:
(1 ;
2 ;
4) ;
(1 ;
3 ;
9) ;
(1 ;
−1 ;
1)) est-elle inversible ?
- Soit (λ, μ) ∈ R2. À quelle condition la matrice
(:
(1 ;
λ) ;
(1 ;
μ)) est-elle inversible ?
- Soit (λ, μ, ν) ∈ R3 et
P(x) = x2 + bx + c.
On pose A = (:
(1 ;
λ ;
λ2) ;
(1 ;
μ ;
μ2) ;
(1 ;
ν ;
ν2)) et
Q = (:
(1 ;0 ;
c) ;
(0 ;
1 ;
b) ;
(0 ;
0 ;
1)).
Calculer AQ et en déduire une condition sur b et c permettant d’affirmer que la matrice A est équivalente à
(:
(1 ;
λ ;
0) ;
(1 ;
μ ;
0) ;
(1 ;
ν ;
P(ν))).
À quelle condition la matrice
A est-elle inversible ?
- Soit (λ1, … , λn) ∈ Rn.
On pose
V = (:
(1 ;
λ1 ;
λ12 ;
… ;
λ1n−1) ;
(1 ;
λ2 ;
λ22 ;
… ;
λ2n−1) ;
(⋮ ;
⋮ ;
⋮ ;
;
⋮) ;
(1 ;
λn−1 ;
λn−12 ;
… ;
λn−1n−1) ;
(1 ;
λn ;
λn2 ;
… ;
λnn−1))
et P(x)
= (x − λ1)(x − λ2)⋯(x − λn−1).
Expliciter le degré de P
puis montrer que V est équivalente à la matrice
W = (:
(1 ;
λ1 ;
λ12 ;
… ;
λ1n−2 ;
0) ;
(⋮ ;
⋮ ;
⋮ ;
;
⋮ ;
⋮) ;
(1 ;
λn−1 ;
λn−12 ;
… ;
λn−1n−2 ;
0) ;
(1 ;
λn ;
λn2 ;
… ;
λnn−2 ;
P(λn)))
et en déduire par récurrence que V est inversible si et seulement si les réels λ1, … , λn sont deux à deux distincts.
Problème : Décomposition de Dunford
On pose M = [[1 ;
2 ;
−2]
[1 ;
5 ;
−4]
[1 ;
2 ;
−1]]
.
- Soit a, b, c trois constantes réelles et x ∈ R ∖ {1 ; 3}. Réduire au même dénominateur l’expression
ax + b/(x − 1)2)
+ c/x − 3).
En déduire les valeurs de a, b, c
pour que
1/(x − 1)2 (x − 3))
= ax + b/(x − 1)2)
+ c/x − 3).
- On pose
A = (aM + bI)(M − 3I)
et B = c(M − I)2. Montrer qu’on trouve
A = −1/4)
[[−4 ;
4 ;
−4]
[0 ;
6 ;
−10]
[0 ;
6 ;
−10]]
et B = 1/4)
[[0 ;
4 ;
−4]
[0 ;
10 ;
−10]
[0 ;
6 ;
−6]]
puis calculer le produit de ces deux matrices ainsi que leurs carrés.
- Calculer D = A + 3B
et N = M − D.
- Calculer N2 ainsi que
DN
et ND.
Les matrices D et N commutent-elles ?
On cherche un polynôme du second degré
P : x ↦ ax2 + bx + c qui interpole les premières puissances de 2.
- Calculer P(1), P(2)
et P(3).
- Déterminer a, b et c pour obtenir simultanément
P(1) = 1, P(2) = 2
et P(3) = 4.
- Déterminer les racines réelles ou complexes de P.
Problème :
Polynômes de Tchebychev
On rappelle la formule de De Moivre :
pour tout n ∈ N, pour tout θ ∈ R,
cos(nθ) + i sin(nθ)
= (cos(θ) + i sin(θ))n
.
- Démontrer que pour tout réel θ on a
cos(2θ) = 2 cos2(θ) − 1.
- En déduire un polynôme P2 tel que
pour tout réel θ on ait
cos(2θ) = P2(cos(θ)).
- Démontrer plus généralement à l’aide de la formule du binôme de Newton
que pour tout n ∈ N∗ il existe un unique polynôme Pn tel que
pour tout réel θ on ait
cos(nθ) = Pn(cos(θ)).
- Préciser les expressions de P0,
P1 et
P3.
- En utilisant l’exponentielle complexe, montrer que pour tout
(a, b) ∈ R2 on a
cos(a + b) + cos(a − b) = 2 cos(a) cos(b).
- En déduire la relation sur les polynômes pour tout n ∈ N∗, pour tout x ∈ R,
Pn+1(x)
+ Pn−1(x)
= 2x Pn(x).
- Montrer que pour tout entier naturel n,
le polynôme Pn
est de degré n et de coefficient dominant 2n−1.
- Soit n ∈ N∗.
Montrer que les racines de Pn sont exactement les réels de la forme
rk = cos((2k+1)π/2n) avec 0 ≤ k < n.
- Montrer que pour tout x ∈ [−1 ; 1] on a
|Pn(x)|
≤ 1
avec P(1) = 1.
Problème :
Matrices et endomorphismes nilpotents
ENS 2007 problème
Premiers exemples
Une matrice carrée (ou un endomorphisme) est dite nilpotente si l’une de ses puissances est la matrice nulle.
- On pose A
= (:
(0 ;
2 ;
4) ;
(0 ;
0 ;
3) ;
(0 ;
0 ;
0)),
B
= (:
(0 ;
5 ;
6) ;
(0 ;
0 ;
0) ;
(0 ;
0 ;
0))
et C
= (:
(0 ;
2 ;
4) ;
(0 ;
0 ;
3) ;
(0 ;
0 ;
1)).
Montrer que les matrices A
et B sont nilpotentes mais que C ne l’est pas.
- En notant (e1, e2, e3) la base canonique de R3,
montrer que les familles (6e1, 4e1 + 3e2, e3)
et (5e1, e2, −6e2 + 5e3) sont aussi des bases de R3.
- En utilisant les matrices de passage de la base canonique vers ces bases,
montrer que les matrices A et B
sont respectivement semblables à
A′
= (:
(0 ;
1 ;
0) ;
(0 ;
0 ;
1) ;
(0 ;
0 ;
0))
et B′
= (:
(0 ;
1 ;
0) ;
(0 ;
0 ;
0) ;
(0 ;
0 ;
0)).
- Les matrices A et B
sont-elles semblables ?
Noyaux emboités
Soit u un endomorphisme sur un espace vectoriel E de dimension finie n.
- Montrer les inclusions suivantes :
Ker(u) ⊂ Ker(u2)
et Im(u2) ⊂ Im(u).
- On souhaite caractériser les endomorphismes dont le noyau et l’image sont supplémentaires.
- Montrer que si E = Im(u) ⊕ Ker(u)
alors Im(u) = Im(u2).
- Réciproquement, montrer que l’égalité Im(u) = Im(u2) implique
E = Im(u) + Ker(u),
puis que cette somme est en fait directe.
- Donner un exemple d’espace vectoriel E et d’endomorphisme u ∈ L(E)
tels que Ker(u) et Im(u) ne soient pas en somme directe.
- Montrer que pour tout k ∈ N∗,
on a Ker(uk) ⊂ Ker(uk+1)
et Im(uk+1) ⊂ Im(uk).
- En déduire qu’il existe un entier p
tel que pour tout k ≥ p,
Ker(uk)
= Ker(up)
et Im(uk)
= Im(up).
- Déterminer ces deux espaces lorsque l’endomorphisme u est inversible.
- Montrer que dans ce cas, E
= Ker(up) ⊕ Im(up).
- Montrer que pour tout k ≥ 1,
si Ker(uk)
= Ker(uk+1)
alors Ker(uk+1)
= Ker(uk+2).
Ordre de nilpotence
Supposons que u ∈ L(E) est un endomorphisme nilpotent. On appelle ordre de nilpotence de u le plus petit entier p
tel que up = 0.
- Montrer que toutes les inclusions suivantes sont strictes :
{0} ⊂ Ker(u) ⊂ Ker(u2) ⊂ ⋯ ⊂ Ker(up) = E.
- Montrer les inégalités p ≤ n + 1 − d ≤ n
où d = dim(Ker(u)).
- Montrer qu’en outre on a p ≥ n/d. On pourra pour cela démontrer d’abord que pour tout entier k, on a
dim(Im(uk))
= dim(Im(uk+1))
+ dim(Im(uk) ∩ Ker(u)).
- Conclure que n = p
si et seulement s’il existe k ∈ ⟦1, n − 1⟧
tel que dim(Ker(uk)) = k, et que dans ce cas l’égalité est vraie pour tout k ∈ ⟦1, n − 1⟧.
Représentations matricielles
Dans cette partie, on considère encore un endomorphisme nilpotent u non nul, d’ordre de nilpotence p
sur E de dimension n.
- Justifier p ≥ 2.
- Dans le cas n = 2, montrer qu’il existe x ∈ E tel que u(x) ≠ 0
et que la famille (u(x), x)
est une base de E. Représenter u dans cette base.
- Dans le cas p = n = 3,
justifier qu’il existe x ∈ E
tel que u2(x) ≠ 0
puis proposer une base dans laquelle u est représentée par la matrice
(:
(0 ;
1 ;
0) ;
(0 ;
0 ;
1) ;
(0 ;
0 ;
0)).
- Lorsque n = 3
et p = 2, montrer que dim(Ker(u)) = 2
puis en déduire que u admet pour représantation matricielle
(:
(0 ;
1 ;
0) ;
(0 ;
0 ;
0) ;
(0 ;
0 ;
0)).
- Dans le cas n = 4, expliciter les différentes valeurs possibles pour p
et d = dim(Ker(u)).
Polynôme minimal
Pour tout polynôme défini par P(x)
= ∑k=0d akxk,
et pour toute matrice M ∈ ℳn(R), on définit la matrice
P(M) = ∑k=0d akMk ∈ ℳn(R). Par exemple, si P(x) = x3 − 5x + 2
alors P(M) = M3 − 5M + 2In, où In est la matrice identité de taille n.
On admet que cette expression est compatible avec l’addition et la multiplication dans les polynômes, c’est-à-dire que pour tout (P, Q) ∈ Rd[x]2,
on a (P + Q)(M)
= P(M) + Q(M)
et (P × Q)(M)
= P(M) × Q(M).
On dit que le polynôme P est un polynôme annulateur de M
si P(M) est la matrice nulle.
Polynôme annulateur d’une matrice carrée
Annales
- ENS 2017 problème B
-
Matrices compagnons
- ENS 2016 exercice 2
-
Produit scalaire dans Rn,
forme linéaire, application à la matrice caractéristique d’ensembles finis dont les intersections sont toutes de même cardinal
- ENS 2015 exercice 2
-
Trace d’une matrice
- ENS 2014 exercice 1
-
Somme directe des images de deux matrices de taille n
- ENS 2013 exercice 1
-
Étude d’une matrice
- ENS 2012 exercice I
-
Résolution d’une équation linéaire par le pivot de Gauss puis par une méthode itérative
- ENS 2011 problème
-
Matrices stochastiques
- ENS 2010 exercice II
-
Endomorphisme associant à un polynôme son reste dans une division euclidienne
- ENS 2009 exercice I
-
Polynômes premiers entre eux appliqués à une matrice
- ENS 2008 exercice I
-
Endomorphismes u satisfaisant la relation u ∘ u = −id
- ENS 2007 problème
-
Matrices nilpotentes
- ENS 2005 problème I
-
Matrice de Vandermonde, vecteur totalisateur et matrice compagnon
- ENS 2004 problème 1
-
Hyperplans et transvection
- ENS 2003 exercice 2
-
Matrices quaternioniques
- HEC 2017 exercice 2
-
Endomorphisme sur un sous-espace couplé avec un isomorphisme sur un supplémentaire, application sur un espace de polynômes
- HEC 2016 exercice 2
-
Somme directe du noyau et de l’image d’une puissance d’un endomorphisme
- HEC 2015 problème 1
-
Décomposition sur une base de vecteurs propres de
P ↦ (X2 − 1) P′ − 2 X P
- HEC 2012 exercice 2
-
Spectre de l’endomorphisme M ↦ AM − MB dans ℳn(R)
- HEC 2011 problème 1 partie 1
-
Endomorphisme défini par (f(P))(x)
= xP(x) + (x − 1) ∫0x P(t) dt
- HEC 2009 problème 1
-
Polynôme annulateur et polynôme minimal d’une matrice carrée
- HEC 2007 problème 2
-
Endomorphismes cycliques et commutant
- HEC 2006 problème 1
-
Application M ↦ AM − MA dans ℳn(R),
- HEC 2005 exercice 1
-
Endomorphismes qui commutent avec un endomorphisme nilpotent d’ordre maximal
- ESSEC 2016 problème 2 partie I
-
Norme matricielle
- ESSEC 2015 problème 1
-
Minimisation d’une forme quadratique sur un hyperplan affine, en particulier lorsque la matrice associée est la matrice de Hilbert
- ESSEC 2014 problème 1
-
Diagonalisabilité d’une matrice admettant un polynôme annulateur scindé
- ESSEC 2011 problème 2
-
Combinaisons linéaires des matrices identité et uniforme
- ESSEC 2010 problème 1
-
Endomorphisme P ↦ xn P(x + 1/x)
- ESSEC 2009 problème 1
-
Endomorphisme de K2n admettant un polynôme annulateur de degré 2
- ESSEC 2007 exercice
-
Endomorphisme de C[X] par les racines complexes de l’unité
- ESSEC 2006 exercice
-
Endomorphisme P ↦ (X − a)(P′(X) − P′(a)) − 2(P(X) − P(a))
- ESSEC 2005 exercice
-
Endomorphisme cyclique en dimension 2
- ENSAI 2010 exercice 1
-
Puissances de matrices
- ENSAI 2010 exercice 4
-
Réunion de sous-espaces vectoriels
- ENSAI 2009 problème
-
Inverse généralisée d’une matrice
- ENSAI 2008 prepière partie
-
Puissances d’une matrice avec décomposition en diagonale et nilpotente
- ENSAI 2008 deuxième partie
-
Polynôme sur les racines complexes de l’unité
- ENSAI 2006 problème 1
-
Norme infinie et puissances d’une matrice In + N
- ENSAI 2005 exercice 1
-
Noyaux emboités
- ENSAI 2005 exercice 2
-
Formes bilinéaires et forme quadratique associée à une forme bilinéaire symétrique
- ENSAI 2004 exercice 1
-
Valeurs propres et vecteurs propres de l’endomorphisme
P ↦ (X2 − 1) P′ − 2n X P
- ENSAI 2004 exercice 3
-
Étude d’une matrice à coefficients trigonométriques
- ENSAI 2003 problème
-
Formes linéaires et espace dual
- Écricome 2011 1er problème
-
Endomorphisme P ↦ 1/2(P(X + 1) + P(X)) et image réciproque de la base canonique des polynômes.
- Écricome 2010, 1er problème
-
Endomorphismes u satisfaisant la relation
u ∘ u + u − 6 id = 0
avec application numérique sur une matrice carrée de taille 3.
- Ecricome 2006, 1er problème
-
Résolution de l’équation P + P′ = Xn/n!) à l’aide de l’endomorphisme P ↦ P + P′
- Ecricome 2001, problème II
-
Puissance de matrices
- Ecricome 2000, exercice 1
-
Endomorphisme P ↦ (X2 + 1) P″
− X P′